Tiens, Napoléon, va voir dans l’allée de la fabrique s’il vient, et cours lui dire qu’on a sonné.
Mais nous n’avons pas besoin d’attendre Ferdinand. Godard, donnez le bras à Pauline. (Vernon va offrir le bras à Gertrude.) Eh ! eh ! permets, Vernon ?… Tu sais bien que personne que moi ne prend le bras de ma femme.
Décidément, il est incurable.
Ferdinand, je l’ai vu là-bas dans la grande avenue.
Donne-moi la main, tyran ?
Tiens, tyran !… c’est moi qui vas te tirer, et joliment.
Scène VII.
Le petit m’a sauvé, mais je ne sais pas par quel hasard il m’a vu dans l’avenue ! Encore une imprudence de ce genre, et nous sommes perdus !… Il faut sortir de cette situation à tout prix… Voici Pauline demandée en mariage… elle a refusé Godard. Le général, et Gertrude surtout vont vouloir connaître les motifs de ce refus ! Voyons, gagnons le perron, pour avoir l’air de venir de la grande allée, comme l’a dit Léon. Pourvu que personne ne me voie de la salle à manger… (Il rencontre Ramel.) Eugène Ramel !
Scène VIII.
Toi ici, Marcandal !
Chut ! ne prononce plus jamais ici ce nom-là ! Si le général