Page:Balzac - Contes drolatiques.djvu/373

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Ains à laquelle ay veu de mes yeulx ung plumaige bigearre en la teste,

un tainct supernaturel et yeulx plus flambans que ie ne sçauryos dire,

desquels sourdoyt ung feu d’enfer.