Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/218

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Camps, voilà qui va mieux que ce matin.

— Ce matin, j’étais un fou répondit le pair de France tout en farfouillant le buvard pour y trouver le projet de lettre auquel il aurait bien pu croire sur parole.

— Taisez-vous, dit tout bas madame Octave de Camps à son mari, en l’empêchant de répondre. Je vous expliquerai toute cette bizarrerie.

Rajeuni de dix ans, le pair de France