Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/219

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offrit son bras à madame de Camps, pendant que le maître de forges offrait le sien à la comtesse.

— Et Naïs ! dit M. de l’Estorade en voyant sa fille qui regardait tristement passer le cortège, est-ce que nous ne l’emmenons pas ?

— Non, dit la comtesse ; j’ai à me plaindre d’elle.

— Ah bas ! dit le père, je donne l’amnistie ; va mettre ton chapeau, ajouta-t-il en s’adressant à sa fille.