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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/129

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— La signora Luigia ! monsieur le comte Halphertius ! dit-elle, en présentant l’un à l’autre les futurs conjoints.

— Signora, dit Vautrin du ton le plus respectueux, mon amie, madame Saint-Estève, m’a dit que vous me permettez d’avoir intérêt pour vos affaires.

— Madame Saint-Estève, répondit Luigia, qui était arrivée a parler notre langue avec une grande pureté, m’a parlé de vous comme d’un homme très connaisseur dans les arts.

— C’est-à-dire, je les aime à la pas-