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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/130

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sion, et, par ma fortune, je fais tout pour les protéger. Vous avez, madame, un bien grand talent.

— C’est ce qu’on saura plus tard, si je puis avoir le bonheur de me produire.

— Vous pourrez vous produire quand vous voulez : j’ai vu le directeur du théâtre italien de Londres ; demain il vous entend, c’est convenu.

— Je suis bien reconnaissante des démarches que vous vous êtes empressé de faire ; mais avant d’accepter vos services,