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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/132

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trin, je le réponds ; mais empêcher les langues pour parler, ça, je ne le réponds pas.

— Ah ! pour les langues dit la Saint-Estève, il faut en prendre son deuil. L’âge de M. le comte n’empêchera pas les bavardages, car c’est plutôt un jeune homme qui s’intéresserait à une femme sans avoir des idées ; à Paris, les vieux garçons, c’est tous mauvais sujets.

— Moi, je n’ai pas ces idées, dit Vautrin, si j’ai le bonheur pour être utile à la signora, dont j’estime plus que tout son talent, elle me souffrira bien d’être son ami ; mais si je lui manquais de