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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/140

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— D’autant plus, signora, que si je fais de la dépense je ne suis pas sans prétendre aussi à mes petits bénéfices.

— Qui seront ? demanda l’Italienne.

— Que vous avez pour moi un peu de bienveillance, répondit Vautrin, que le monde me croit encore bien plus heureux que je ne serai, et que vous ne faites rien pour m’ôter cette petite jouissance d’amour-propre, dont je m’en contenterai.

— Je ne comprends pas bien, dit la Luigia avec un froncement de sourcils.