Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/165

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Java) quelque chose d’oriental me chausse assez bien.

La Saint-Estève fit asseoir à sa droite sir Francis Drake et Desroches ; occupant en face d’elle le milieu de la table, Vautrin fut flanqué d’Émile Blondet des Débats, et de la Luigia, qui, elle-même, eut à côté d’elle Théodore Gaillard. Les vingt-cinq mille abonnés du journal dirigé par cet habile industriel appelaient bien sur lui cette distinction. Les autres convives se placèrent à leur fantaisie.

En somme, le dîner fut peu animé ; plus d’une fois, la Comédie humaine a eu l’occasion de montrer dans le jour écla-