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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/174

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sède maintenant une relique, la tabatière du Napoléon des avoués.

— C’est très gentilhomme, répondit Bixiou, et, s’il plaît à Dieu et à la Saint-Estève, je cultiverai cette connaissance. Hein ! dis donc, si je faisais sa charge dans un des prochains numéros du Charivari ?

— Il faudrait savoir, repartit Desroches, s’il a l’esprit assez français pour être charmé de se voir en caricature.

À ce moment, un accord de piano annonça que la signora Luigia allait paraître sur la brèche.