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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/224

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— J’étais votre… obligée, dit la Luigia ; je m’étais aperçue que je devenais un embarras dans votre situation nouvelle. Avais-je alors autre chose à faire que de vous délivrer de moi ?

— Qui donc vous avait donné cette odieuse certitude ? avais-je dit, témoigné, en ce sens, quelque chose ? ne pouvait-on parler avec vous d’une manière d’arranger votre vie sans blesser à ce point votre susceptibilité ?

— On sent comme l’on sent, répondit l’Italienne ; j’avais, moi, la conscience que vous me souhaitiez autant ailleurs que dans votre maison. Mon avenir,