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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/228

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reproche ; je suis bien tardivement averti des torts que je puis avoir eus envers vous.

— Vous n’avez eu vis-à-vis de moi aucune espèce de torts ; le mal était là, dit l’Italienne en se frappant la poitrine, il venait de moi seule.

— Probablement quelque folle visée comme celle que vous vous étiez faite en supposant que vous étiez engagée d’honneur à quitter ma maison ?

— Oh ! que je ne rêvais pas, dit l’Italienne, et que je savais bien ce qui était