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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/285

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assumé sur lui dans cette horrible affaire, disparaît devant une imagination vraiment satanique dont il m’a fait part tout à l’heure, avant dîner.

— Qu’est-ce donc ? demanda vivement madame de Camps.

— Sa prétention est que demain j’aille avec lui, dans la tribune réservée aux pairs de France, assister à la discussion qui doit avoir lieu.

— Mais vraiment sa tête déménage, dit M. de Camps, c’est tout à fait le procédé de Diafoirus fils, offrant à sa pré-