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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/284

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risque de voir mon mari soupçonner mon intervention, si nous n’étions retenus par une considération : celle de désespérer M. de Sallenauve, en rendant public le malheur arrivé à son ami.

— C’est évident, dit madame Octave, le défendre de cette manière serait aller contre ses intentions, d’autant mieux qu’à toute force il peut arriver à temps et que d’ailleurs la décision de la Chambre reste problématique, tandis que la folie de M. Marie-Gaston, une fois ébruitée, il ne se relèvera jamais de ce coup.

— Du reste, dit madame de l’Estorade, tout l’odieux que mon mari a jusqu’ici