Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/292

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

aux membres de la pairie ; elle paraissait souffrante et ne répondit qu’avec tiédeur aux saluts qui lui furent adressés de divers points de la salle.

Madame de Camps qui, pour la première fois, avait accès dans l’enceinte parlementaire, fit deux remarques : elle se récria sur le négligé du costume d’un assez grand nombre des honorables, et fut frappée du nombre de calvities qui, du haut de la tribune d’où elle planait sur l’assemblée, vint étonner ses yeux.

Elle se laissa ensuite désigner par M. de l’Estorade les notabilités de l’en-