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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/291

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— En être réduite à toute cette conspiration ! dit madame de l’Estorade en embrassant son amie.

— Ma chère belle, répondit madame de Camps, on a dit que la vie du chrétien était un combat, mais celle de la femme mariée d’une certaine façon est une vraie bataille rangée. Prenez patience et courage.

Cela dit, les deux amies se séparèrent.

Le lendemain, vers deux heures, madame de l’Estorade, accompagnée de son mari et de madame Octave de Camps, venait prendre place dans la tribune ré-