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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/295

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recouvrait des dehors les plus élégants et la marquise avait dans un dédain encore plus profond ce qu’elle appelait les vertus pot-au-feu de madame de l’Estorade.

Il faut dire aussi que madame de l’Estorade avait trente-deux ans et une beauté que le temps avait épargné, tandis que madame d’Espard était une femme de quarante-quatre ans, et, malgré toutes les savantes dissimulations de la toilette, une beauté tout à fait à bout.

— Est-ce que vous venez quelquefois ici ? dit-elle à la comtesse, après les quel-