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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/87

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çon par lequel elle se voit dédaignée. Viens donc tantôt sous la nouvelle pelure que tu auras choisie, et quant à t’insinuer dans l’esprit de la charmante, c’est affaire à toi, et je m’en rapporte.

» Ta tante affectionnée,
» J.-C. de Saint-Estève. »

Vautrin répondit :

« Ce soir je serai chez toi sur les neuf heures. J’espère qu’il se sera fait en ma personne un assez beau changement de décor pour qu’au premier