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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/80

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— Enfin, ce qui est fait est fait ; occupons-nous maintenant de l’avenir, dit Sallenauve ; et il se mit à écrire le brouillon d’une réponse.

Il venait de l’achever et se préparait à en donner lecture à l’organiste, quand le valet de chambre par lequel il avait remplacé sa belle gouvernante, entra pour lui annoncer qu’un monsieur et deux dames étaient là, demandant à lui parler.

Il passa dans la galerie dont était précédé son atelier, et ne fut pas médiocrement surpris en y trouvant M. et madame de Camps accompagnant madame de l’Estorade.