Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/97

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

maladive et par une fureur jalouse à une sorte d’hostilité instinctive et aveugle.

— Au moment où j’eus l’honneur de votre visite, ajouta-t-elle en finissant et en se tournant vers Jacques Bricheteau, j’étais sous la première impression de ce malheur immense, et je m’étudiais à désapprendre la bienveillance qui, extérieurement du moins, n’était plus possible dans nos relations avec M. de Sallenauve.

— Mais votre lettre me dénonçant une rupture, dit Sallenauve, je ne l’ai point reçue.