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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/296

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sieur, répondit la supérieure, pour notre pauvre postulante dont j’aurais eu grand regret à me séparer ; mais notre maison a si peu de ressources !

— Est-ce que je ne ferais pas ici double emploi ? demanda alors M. de Lanty. Il me semble que c’est aussi pour une pauvre fille dont il s’agirait de faire la dot que Marianina m’avait écrit.

— En effet, dit la supérieure, comme nous ne recevions du côté de monsieur aucune réponse, le bon cœur de mademoiselle Marianina s’était ému, et elle avait pris le parti de s’adresser à vous.