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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/297

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— Il s’agit pour moi d’un devoir qui est en même temps un droit ; j’ose donc espérer, madame, dit Sallenauve, que mon retard, bien involontaire, ne vous paraîtra pas m’en avoir déchu.

— Il est évident, monsieur, dit M. de Lanty, que ma bonne volonté doit faire retraite devant la vôtre ; cependant je ne veux pas avoir le démenti de l’action charitable à laquelle j’avais été convié ; j’espère que madame la supérieure voudra bien accepter mon offrande, applicable à quelqu’autre vocation qui, d’un jour à l’autre, pourra se trouver sur son chemin.

— Je reçois de toutes mains, mes-