Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/148

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est tout entière à M. de Lanty : il avait profondément regretté que les ténèbres dont restait enveloppée votre naissance, ne lui permissent pas, dans les idées du monde, de vous vouloir pour gendre. Aussitôt que M. votre père vous eut rendu votre nom, M. de Lanty me parla de son vif désir de renouer vos anciennes relations. Toutefois, vous le comprenez, une mauvaise honte l’empêchait de prendre la grande route, et d’aller droit à vous. Après y avoir un peu pensé, j’eus le mérite d’inventer un petit chemin de traverse.

— Comment ! l’histoire de cette religieuse à doter ?