Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/305

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quelques bavardages et vaguement informé, il était, au contraire, aussi pleinement renseigné que si elle lui eût fait elle-même sa confidence.

Ne pouvant plus rien nier, Séverine avait la ressource des larmes, et inutile de dire que son mouchoir fut aussitôt mis en jeu.

— Ce mariage maintenant est impossible, finit-elle par dire en sanglotant : un gendre qui n’aurait pour moi que le mépris le plus mérité ? non, quelque chose qui arrive, jamais je n’y consentirai.