Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/306

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Si les paroles de madame Beauvisage eussent été l’expression vraie de sa pensée, il y aurait eu de quoi faire repentir Maxime de la terrible habileté avec laquelle, au moment du départ, il ménageait la sécurité de son absence.

Mais il était trop habile homme pour ne pas comprendre que Séverine essayait d’échapper à la confusion par le désespoir ; s’approchant donc d’elle et lui prenant affectueusement la main :

— Moi ! s’écria-t-il, du mépris pour ma chère belle-mère ! dites donc, ma-