Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/307

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dame, une pitié immense, quand je viens à penser que sa jeunesse, son esprit, ses charmes, qui la destinaient aux plus nobles alliances, ont été indignement sacrifiés ; quand je pense que, depuis plus de vingt ans, enchaînée au plus insignifiant des hommes comme à un cadavre…

— Je vous en supplie, monsieur, s’écria théâtralement madame Beauvisage, ne dites pas de mal de mon pauvre mari !

— Lui, à plaindre ! répondit Maxime,