Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/32

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de vous dire que la moindre des offrandes serait la très bien venue ?

— Et j’ose dire, fit remarquer madame Tancrède, que la réponse de la même au même ne se fit pas attendre.

— Oui, dit Joséphine Madou ; mais monsieur prit toujours notre argent du bout des doigts, comme si ça pouvait lui écorcher la main. Je vous demande un peu : défendre à des bienfaitrices d’apporter elles-mêmes leur cotisation et de la lui remettre chez lui !

— Chère Joséphine, repartit Jacques Bricheteau, j’étais organiste et dépendant de M. le curé de Saint-Louis-en-