L’école des princes*[1].
Un numéro entier composé de 4 articles distincts qui feraient un roman. Le dénouement serait à table. De l’enfant qui devine un secret ? Faire un drame de terreur profonde avec une arrière-boutique et des habits d’aujourd’hui[2].
La Bonnard de la Journée à Versailles entrant dans une affaire de vie et de mort et, au 5e acte, en danger d’aller à l’échafaud, comme Bonnard se trouve dans une affaire sans la connaître. Niaiserie et terreur. Comique et tragique[3].
Du cardinal de Richelieu.
Il n’y a que son chapeau qui rougisse. — Tu ne dors que quand le diable te berce. — Je te donne à plus de diables qu’il n’y a de cocus, de sergents (de soldats,), etc. en France. — Aussi doux qu’une étrille. — Les finances sont à lui comme les sergens sont au
- ↑ Le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, dans son Histoire des Œuvres de H. de Balzac, mentionne une pièce, l’Éducation du Prince, qui ne fut jamais jouée.
- ↑ La femme de trente ans est faite de quatre parties entièrement distinctes et dont les personnages communs changeaient de nom à chaque épisode, dans la première version.
- ↑ Une journée à Versailles ou Le Discret malgré lui, comédie en 3 actes en prose de M. Georges Duval (Odéon, 1814). Le personnage principal s’en appelle Bonneau et non Bonnard. On y parle bien d’une dame Bonneau mais elle n’y paraît pas. (Communication de M. Auguste Rondel.)