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fois, avec sa dédicace, dans la Presse des 20 au 26 août 1839, daté des Jardies, juillet 1839, sous le titre de la Princesse parisienne, et en 1840, sous le même titre, en un volume in-8o chez Souverain, formant le tome I du Foyer de l’Opéra, recueil par divers auteurs ; ce récit était, depuis sa première publication, divisé en chapitres dont voici les titres :

1. Le bilan d’une jolie femme.
2. Le dernier mot de deux grandes coquettes.
3. D’Arthez.
4. La princesse à l’œuvre.
5. Le prince mis en jeu.
6. Les préparatifs du mensonge.
7. Confession d’une jolie femme.
8. Horrible épreuve.

Dans l’édition du Foyer de l’Opéra, les chapitres ne portent pas de titres et l’ouvrage est dédié ainsi :

À Théophile Gautier,
Son ami,
H. de Balzac.

Il ne prit le titre qu’il porte aujourd’hui qu’en 1844, en entrant, toutes divisions de chapitres supprimées, dans le tome III de la troisième édition des Scènes de la Vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome XI).

XLV. Facino Cane, daté de Paris, mars 1836. Imprimé pour la première fois dans la Chronique de Paris du 17 mars 1836, ce récit parut pour la première fois en volume, daté, en 1837, dans le tome XII de la quatrième édition des Études philosophiques. En 1844, il entra dans le tome III de la troisième édition des Scènes de la Vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome XI). L’auteur y ajouta cette dédicace : « À Louise, comme un témoignage d’affectueuse reconnaissance, » qu’il a enlevée sans la remplacer par aucune autre dans cette édition. Ce conte a paru aussi, sous le titre de : le Père Canet, avec la Muse du département et Rosalie (Albert Savarus), mystères de province, quatre volumes in-8o chez Souverain, 1843.

XLVI. Sarrasine, daté de Paris, novembre 1830. Dédié à Charles de Bernard du Grail. Imprimé pour la première fois dans la Revue de Paris du 28 novembre 1830, en deux chapitres : les Deux Portraits et une Passion d’artiste, ce récit avait alors en tête de chacun une épigraphe, supprimée depuis, que nous recueillons ici :