LI. Gaudissart II, daté de Paris, novembre 1844. Dédié à la princesse Cristina de Belgiojoso, née Trivulce. Ce travail, écrit pour le Diable à Paris, deux volumes in-8o, chez Hetzel, 1845-1846, paru pour la première fois dans la Presse du 12 octobre 1844 sous le titre de : un Gaudissart de la rue Richelieu ; les Comédies qu’on peut voir gratis. Il a gardé le même titre dans le Diable à Paris et n’a pris celui qu’il porte aujourd’hui qu’en entrant en 1846, daté et dédié, dans le tome IV de la troisième édition des Scènes de la vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome XII).
LII. Les Employés, daté de Paris, juillet 1836. Dédié à la comtesse Serafina San-Severino, née Porcia. Imprimé pour la première fois dans la Presse du 1er au 14 juillet 1837, sous le titre de la Femme supérieure, ce roman parut pour la première fois en volume, chez Werdet, deux volumes in-8o, en octobre 1838 ; il portait ce même titre, mais la version du journal était augmentée d’une conclusion inédite et de la dédicace actuelle, datée alors de Milan, mai 1838, date effacée depuis. Il parut, accompagné de la Torpille et de la Maison Nucingen, avec la préface collective datée des Jardies, 15 septembre 1838, dont nous avons déjà parlé (voir tome XXII, page 496). L’ouvrage était alors divisé en parties et en chapitres dont voici les titres :