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juin 1835, dans le tome VI du Livre des Conteurs, recueil par divers auteurs, Lequien fils, six volumes in-8o, accompagné d’une note (voir tome XXII, page 417) ; ce conte reparut la même année, daté, dans le tome V de la quatrième édition des Études philosophiques. Ce n’est qu’en 1845 qu’il prit sa dédicace en entrant dans le tome I de la cinquième édition des Études philosophiques (première édition de la Comédie humaine, tome XIV).

LXVIII. Le Chef-d’œuvre inconnu, daté de Paris, février 1832. Dédié à un lord, 1845. Ce récit a paru pour la première fois, avec le sous-titre de conte fantastique, dans l’Artiste des 31 juillet et 6 août 1831 ; il y était divisé en deux chapitres : Maître Frenhofer et Catherine Lescault. La même année, il reparut en volume dans la première édition des Romans et Contes philosophiques, et fut, pour la première fois daté de 1836 dans le tome XVII de la quatrième édition des Études philosophiques, publié en 1837. Il compléta en 1848, sous le titre de Gillette, la première édition à part de : le Provincial à Paris (les Comédiens sans le savoir). Il entra en 1845, dédié, et le titre de son premier chapitre changé en celui de Gillette, dans le tome I de la cinquième édition des Études philosophiques (première édition de la Comédie humaine, tome XV).

LXIX. Gambara, daté de Paris, juin 1837. Dédié au marquis de Belloy. Cette étude parut pour la première fois dans la Revue et Gazette musicale de Paris des 23, 30 juillet, 6, 13 et 20 août 1837 ; sa publication y fut précédée d’une lettre au directeur, datée de Paris 29 mai 1837, publiée dans le numéro du 11 juin (voir tome XXII, page 491). Cette version était divisée comme suit :

1. Comment un noble Milanais, en poursuivant une femme, fit la rencontre d’un compositeur soupçonné d’être fou.
2. Vie du signor Paolo Gambara.
3. Opéra de Mahomet, musique et paroles de Gambara.
4. Ce que Gambara ivre trouvait dans Robert le Diable.
Conclusion.

En 1839, Gambara parut pour la première fois en volume, avec sa dédicace, datée des Jardies, février 1839, à celui qui n’était encore alors que le comte Auguste-Benjamin de Belloy ; il était précédé du Cabinet des Antiques, avec préface collective (voir tome XXII, page 513). Cette édition portait comme titres de chapitre :

1. La rencontre du compositeur.
2. Vie du Signor Paolo Gambara.
3. Opéra de Mahomet.
4. Opinion de Gambara ivre.
Conclusion.