Enfin, en 1845 encore, cette partie entra, datée comme aujourd’hui, sous le seul titre de « dernière partie », et toutes les divisions de chapitres enlevées, dans le tome IV de la cinquième édition des Scènes de la Vie privée (première édition de la Comédie humaine). Elle se terminait alors par ces mots, enlevés en partie aujourd’hui :
Calyste tendit la main à sa femme et la lui serra si tendrement, en lui jetant un regard si éloquent, qu’elle dit à l’oreille de la duchesse : « Je suis aimée, ma mère, et pour toujours ! »
Aujourd’hui, comme on l’a vu, tout l’ouvrage porte pour la première fois sa division en trois parties avec titres, et la date de 1838-1844.
XXI. Gobseck, daté de Paris, janvier 1830. Dédié au baron Barchou de Penhoën en 1840. Cette nouvelle parut pour la première fois dans le tome I de la première édition des Scènes de la Vie privée, deux volumes, avril 1830, sous le titre de : les Dangers de l’inconduite ; elle était alors divisée en trois chapitres : l’Usurier, l’Avoué et la Mort du mari, dont le premier avait paru inédit dans la Mode du 26 février 1830. En 1835, sous le titre de : le Papa Gobseck, elle entra, datée pour la première fois, dans le tome I de la première édition des Scènes de la Vie parisienne, d’où, en 1842, elle fut retirée pour reprendre place, sous son titre actuel et augmentée de sa dédicace, dans le tome II de la cinquième édition des Scènes de la Vie privée (première édition de la Comédie humaine).
XXII. La Femme de trente ans : I. Premières fautes. II. Souffrances inconnues. III. À trente ans. IV. Le Doigt de Dieu. V. Les Deux Rencontres. VI. La Vieillesse d’une mère coupable. Daté de Paris, 1828-1844. Dédié à Louis Boulanger. Les différents chapitres de ce récit