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69. Mercadet (théâtre).
70. La Marâtre (théâtre).
71. Paméla Giraud (théâtre).
72. La Maison du chat qui pelote.
73. Modeste Mignon.
74. Gobseck.
75. Ursule Mirouet.
76. L’Illustre Gaudissart (les Parisiens en province).
77. La Peau de chagrin.
78. Autre Étude de femme.
79. Une Fille d’Ève.
80. Gambara.
81. Pierre Grassou.
82. Esquisse d’homme d’affaires.
83. Les Secrets de la princesse de Cadignan.
84. Un Drame au bord de la mer.
85. Albert Savarus.
86. La Fausse Maîtresse.
87. Honorine.
88. L’Envers de l’histoire contemporaine.
89. Z. Marcas.
90. La Maison Nucingen.
91. La Bourse.
92. Béatrix.
93. Un Prince de la bohème.
94. La Cousine Bette (les Parents pauvres).
95. Gaudissart II.
96. L’Épicier.
97. Le Député d’Arcis.
98. L’Employé.
99. Le Cousin Pons (les Parents pauvres).
100. Les Comédiens sans le savoir.

Grâce à certains personnages, quelques groupes se font d’eux-mêmes une place distincte et se mettent en relief dans la Comédie humaine ; nous citerons surtout :

1o À cause de Catherine de Médicis, que Balzac a cherché à peindre sous un jour nouveau :

Le Martyr calviniste.
La Confidence des Ruggieri.
Les Deux Rêves.

2o À cause de la police, dont il dévoile certains mystères :

Les Chouans.
Une Ténébreuse Affaire.
Vautrin.
Le Père Goriot.
Splendeurs et Misères des courtisanes.
La Dernière Incarnation de Vautrin (Splendeurs et Misères des courtisanes).
La Cousine Bette.
Le Député d’Arcis.

3o À cause de Vautrin et de Lucien de Rubempré, dont l’idée première semble avoir été empruntée par Balzac au Gaudet et à l’Edmond de Rétif de la Bretonne dans le Paysan perverti :

Vautrin.
Le Père Goriot.
Les Deux Poëtes.
Un Grand Homme de province à Paris.
Les Souffrances de l’inventeur.
Splendeurs et Misères des courtisanes.
La Dernière Incarnation de Vautrin (Splendeurs et Misères des courtisanes).