Page:Barbey d’Aurevilly - Ce qui ne meurt pas, 1884, 2e éd.djvu/189

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Chose étrange ! Il pleurait sur la vie comme on pleure sur la mort. Mais, tout en pleurant sur cette vie qui passait dans ses lèvres avec moquerie et qu’il ne pouvait aspirer et absorber en lui, c’était aussi sur la perte d’un cœur éteint, mort déplorable ! qu’il gémissait.