c’est l’humiliation du grand catholicisme, universel et éternel, sous un catholicisme de fantaisie et un protestantisme d’éventail. Romancier qui se croit entré à l’Académie par ses romans, M. Octave Feuillet a écrit un essai sur le roman dans son discours de réception ; et, tête éventée par le succès, cet Incroyable littéraire, qui a zézayé, marivaudé et scribouillé tout le temps de son discours, a oublié Balzac !!! C’est comme si dans l’histoire de l’art de la guerre on oubliait Napoléon ! Est-ce un oubli ou une combinaison ?… Pourquoi a-t-il oublié Balzac ?… Est-ce pour lui, M. Feuillet, ou pour l’Académie ?… De tendance naturelle, du moins, M. Feuillet doit être orléaniste. Il a dans son genre d’esprit et de talent tout ce qui passait pour l’élégance suprême du temps de Louis-Philippe et de sa cour. Il aurait été l’ornement de cette cour splendide…