Page:Barbey d’Aurevilly - Les Romanciers, 1865.djvu/79

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parle d’amour pour son propre compte, et non plus pour le compte de ses héros de roman. En les lisant, on est surtout frappé de la sécheresse d’expression d’une âme pourtant passionnée, et on sent presque douloureusement dans ces pages le tort immense que fait même à la sensibilité d’un homme le malheur d’avoir, sur les grands problèmes de la vie morale, pensé faux !