Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/151

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Et pourtant tu gardas à travers ton délire,
Sous les grelots du fou, sous le masque du rire,
Un cœur toujours sensible et plein de dignité ;

Oui, ton âme fut belle, ainsi que ton génie ;
Elle ne faillit point devant la tyrannie,
Et chanta dans les fers l’hymne de liberté.