Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/165

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Dominiquin


 
Noble fille des cieux, divine solitude,
Bel ange inspirateur de tout génie humain,
Toi, qui vis saintement, et le front dans la main,
Loin des pas du vulgaire et de la multitude !

Ô nourrice de l’art ! ô mère de l’étude !
Tu reçus dans tes bras le grand Dominiquin,
Et, sur ce noble cœur rongé d’inquiétude,
Tu versas à longs flots ton calme souverain.