Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/28

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SPALANZANI.

Qui ?… Hoffmann ?…

COPPÉLIUS.

Il en est amoureux fou !

SPALANZANI, riant.

Oui, je sais.

COPPÉLIUS.

Quel nigaud !…

SPALANZANI.

C’est jeune ! c’est jeune !

COPPÉLIUS, ramassant tout son bagage de lunettes et de baromètres.

Allons ! je vous laisse à votre petite fête… Adieu !

SPALANZANI.

Bonsoir !

COPPÉLIUS, en passant devant Hoffmann.

Eh ! eh !

COCHENILLE, paraissant.

Hi ! hi !…

NICKLAUSSE.

Ah ! ah !

Coppélius sort. – Des rires étranges se font entendre dans la coulisse, comme des échos.

SPALANZANI, riant le dernier.

Oh ! oh !

HOFFMANN, à part.

Qu’ont-ils à rire ?…