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Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/77

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FRANTZ, ouvrant ta porte du fond

Entrez, Monsieur !…

CRESPEL, s’élançant sur Frantz

Ah ! coquin !…

FRANTZ.

Holà !…

Il se sauve.


Scène X

CRESPEL, MIRACLE, HOFFMANN, caché.
MIRACLE, arpentant le théâtre.

Eh bien ! Eh ! bien ! où est-il, ce bon M. Crespel, que je l’embrasse ? Et sa chère fille Antonia que j’aime de tout mon cœur ?… Comment ne sont-ils pas encore dans mes bras ? – Ah ! cette porte !…

Il se dirige vers la chambre d’Antonia.

CRESPEL, l’arrêtant.

Eh ! Monsieur !…

MIRACLE.

Ah ! ah ! vous voilà donc, Monsieur Crespel ?… Enchanté !… Eh ! bien ! notre Antonia ?… La pauvre enfant est donc malade ?

CRESPEL.

Qui vous a dit cela ?… Ce n’est pas vrai !