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Page:Barbier - Satires et Chants, 1869.djvu/170

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une vaste salle avec des fenêtres grillées. Les murs sont ornés de tapisseries représentant de larges bouquets de roses et des éléphants, armoiries des Malatesta.

 
Pagolo Orsini, précédant le prince.
permettez-moi de vous servir de majordome,
prince, et de vous montrer les différentes chambres
que j’ai fait arranger pour vous dans ce palais.

César.
Vrai Dieu ! Cher Pagolo, vous êtes trop aimable !
Seigneurs confédérés, et vous, mes capitaines,
pages de ma maison, veuillez m’attendre ici,
je reviens à l’instant.

Vitellozo, à demi-voix.
c’est vraiment singulier, mais je ne