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Page:Barillon-Bauché - Augusta Holmès et la femme compositeur, 1912.pdf/54

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LA FIN

sur la possibilité d’acquitter les droits de l’État ; mais il se produisit un fait assez bizarre : un Anglais, qui mourut un peu après Holmès, lui laissait vingt mille francs par un testament qui mentionnait que, dans le cas du décès de Mme Holmès précédant le sien, la somme reviendrait au nom de la musicienne et ferait partie de sa succession ; cet héritage posthume permit l’exécution des dernières volontés de la pauvre grande artiste.