Viennent ensuite assez rapidement toutes les autres formes modernes.
Il serait même impossible d’énumérer les arrangements strophiques dont cette époque s’est avisée. Le xvie et le xixe siècles n’ont rien ajouté à ce trésor de nos pères. Seulement, nous avons su donner un sens aux combinaisons dont le moyen âge n’a vraiment tiré, au point de vue esthétique, aucun parti appréciable. Car, malgré toutes les tentatives de réhabilitation de médiévistes, qui donc aujourd’hui peut littérairement s’intéresser à ces interminables productions versifiées ? Le moyen âge a construit corde à corde la lyre française, mais ce n’est qu’à partir de la fin du xve siècle que « l’Archet Divin » commence à la faire vibrer à l’unisson du cœur humain.