Page:Barrès - Colette Baudoche, 1913.djvu/175

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le pangermaniste

Si messieurs les Lorrains se trouvent fanés par les vérités allemandes, qu’ils s’en aillent donc en France où l’agriculture manque de bras, comme ils disent. Et du vieux sol, nous verrons accourir une multitude, qui colonisera ce pays de la conquête, en chantant d’une seule voix les chants de nos pères… Laissez à d’autres, Asmus, le soin de flatter la bouderie de quelques Lorrains têtus, et soignons tous, bravement, les intérêts de notre grande race allemande.

m. asmus

Moi aussi, mes camarades, j’entends servir les intérêts de notre race. Je con-