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CHAPITRE DOUZIÈME
la mort touchante de bérénice
Les élections nous réussirent. Sitôt élu, je quittai Arles et m’installai au Grau-le-Roi, où Bérénice, hélas ! dépérissait auprès de l’adversaire. Celui-ci ne se déjugeait pas : il ne pensait rien que de sévère sur un succès qu’il n’avait pas prévu, mais il avait trop le goût de la hiérarchie pour ne point se figurer, depuis le scrutin, que nous étions liés par « une