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acte iv, scène ii.
Scène II.
les mêmes, BAPTISTE.
Schaunard, à Baptiste.
Qu’est-ce que c’est que ça ?
Baptiste.
Des glaces, monsieur.
Schaunard.
Et le punch ?
Baptiste.
Je n’en ai plus, monsieur… ces dames ont tout pris.
Schaunard.
Tiens, c’est Baptiste.
Baptiste.
Hélas ! oui, monsieur…
Colline lui donne une poignée de main.
Schaunard.
Baptiste avec une livrée ! ah ! fi !
Baptiste.
Monsieur, j’ai eu de l’ambition, j’en suis bien puni… La vie est insupportable ici… Tout est convenu et arrangé d’avance : on déjeune tous les matins et on dîne tous les soirs… je ne pourrai jamais m’habituer à ce régime-là.
Schaunard.
Reviens avec nous alors… ça te changera.
Baptiste.
J’y rêve, monsieur ; mais je voudrais y rentrer avec des titres à votre estime ! car j’ai eu des torts, monsieur… vous les connaîtrez tôt ou tard.
Schaunard.
Je te les pardonne à une simple condition… va me chercher du punch.
Baptiste.
On va en composer, monsieur ; mais, en attendant,