Page:Barrucand - Avec le Feu, 1900.djvu/302

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profonde comme le son des canzone de Pétrarque : Laure, gentil rameau où s’appuierait mon flanc !…

Il s’arrêtait ; il était près d’elle soudain ; il la regardait, il regardait ses yeux comme deux lumières qui vont disparaître ; il attendait un geste, un tremblement des lèvres, un seul mot. Et ce mot, même en rêve, elle ne sut pas le dire, car ce n’eût été qu’une parole de pitié.