Page:Barrucand - Avec le Feu, 1900.djvu/99

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— Mariette, dit-il, si tu savais comme je suis triste.

— Pourquoi ?

— Pour rien. Me pardonnes-tu ?

— Qu’ai-je à te pardonner ?

— Un mot. Je n’ai pas été gentil avec toi, ce soir. Il me semble que tu dois m’en vouloir. Et puis j’ai des chagrins.

— Des idées noires ?

— Oui… Veux-tu ?

— Quoi ?

— Dormir ensemble.

— Gros bête !