Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 2.djvu/115

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En voyant les orties croître sur le seuil de la porte et au rez-de-chaussée ; au rez-de-chaussée et dans la salle, et le méchant monde y faire le beau ;

Et les pauvres gens pleurer, en passant, pleurer avec angoisse, hélas ! en disant : — Voilà qu’elle est morte, la mère des pauvres ! —


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