Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 2.djvu/325

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



LOIZAIK.

Si vous voulez avoir mon dernier mot, écoutez-moi bien, le voici : trois sentiers conduisent chez vous, prenez-en un et ne revenez plus. —


Et Piarik de s’en revenir aussi triste que la mort : — Je voulais cueillir du bouleau, et n’ai eu que du coudrier.


________